C'est souvent dans ce théâtre que l'Imaginarium prend place. Il vous promet un spectacle haut-en-couleur. Des rideaux rouges en velours, des décors en or, de remarquables fresques au plafond ; c'est dans cet endroit que vous, spectateurs, trouverez joie et extase si les comédiens vous autoriseront à monter sur la scène pour diverses découvertes.
Les décors sont lugubres, gris, verts, malgré leurs apparences enfantines qui entraînent les plus petits dans des jeux maléfiques. Ils n'en sortiront qu'effrayés, et les plus grandes personnes seront traumatisées, car leur « je ne crois plus au monstre ni à la sorcière » sera banni de leur esprit. Mais cela arrive à tout le monde d'échapper aux menaces. Et vous, qu'en dîtes-vous pour venir tenter l'épreuve du Diable ?
C'est par des cris de clowns que le cirque décide d'ouvrir ses portes. C'est un endroit qui vous sera, certes, bien gai, mais qui vous cachera son côté maléfique et sadique. Mais vous, qui êtes aveuglés par la lumière du bonheur, ne trouvez rien de diabolique. Au contraire, tous demandent plus, et encore, et encore. Et encore, jusqu'à ce que la nuit passe.
Londres a un côté riche et culturel, mais aussi un côté sinistre et misérable. C'est le cas de ces ruelles-là, toujours grises et froides où se rencontrent dealers, sans-abris, et où se règlent des comptes. Ce sont des coins dangereux et il faut toujours avoir une carte sur soi, au cas où vous vous perdrez dans la brume.